
C’est lors d’une énième période de soldes sur le Playstation Store que je me suis décidé à acheter Dokuro. Peu connu, pour ne pas dire inconnu, mais le jeu semblait avoir des critiques très correctes, et un principe intéressant. Dokuro est une sorte de conte, un eu à la manière des films de Tim Burton auxquels il emprunte une certaine patte graphique. Sombre, il suinte de mélancolie.
Le parallèle est d’autant plus grand qu’on y incarne un fragile petit squelette qui s’est entiché d’une princesse qu’il devait surveiller pour le compte du Dark Lord. Au lieu de cela, notre bondissant tas d’os se met en tête d’aider la princesse à fuir. Pour cela, le joueur aux commandes devra passer chaque niveau en résolvant les énigmes qu’il propose. Pour les résoudre, il faudra user du double saut du squelette, mais cela ne suffira pas toujours. C’est pour cela que le personnage pourra endosser une autre forme, celle d’un prince armé d’une épée, certes plus fort, capable de porter la princesse, mais qui ne peut sauter aussi haut que la forme squelettique. De plus, cette forme humaine est temporaire.
Un autre pouvoir du squelette nous demande d’utiliser l’écran tactile : il s’agit d’une craie magique qui nous permet de tracer des cordes à l’écran, pour actionner des mécanismes, de faire exploser des barils par exemple.


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